Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18
Le message « Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par Adair C. Sheperd
Adair Clifford Shepherd
❯ Nom : Mon père et son père encore avant s'appelaient Shepherd... Ca n'a rien de très original, au final. ❯ Prénom(s) : Adair et Clifford. Un diminutif d'un prénom ridicule et un nom de chien. Je suis particulièrement bien tombé, vous ne trouvez pas ? ❯ Âge : 31 ans mais je fais quelques années de moins ! Né le 25.9.83 ❯ Origines : Je suis né à Douvres, j'ai vécu à Canterbury et Cambridge et maintenant, ici. Bref, un parfait anglais. ❯ Nationalité(s) : Anglaise également. ❯ Orientation sexuelle : Je ne fais pas de chichi. Les coubes voluptueuses d'une demoiselle sont tout aussi agréable que le torse musclé d'un jeune homme... J'ai parfois mes préférences, en ce moment, je croquerais bien un damoiseau ! ❯ Taille/poids : 1m88, 98kg. Mais attention, je suis un sportif, ne va pas croire que c'est du gras ! ❯ Couleurs des cheveux : Ils sont bruns, noir très foncés. Ils ont toujours été comme ça. ❯ Couleur des yeux : Vert, je les tiens de mon irlandaise de mère. ❯ Couleur de la peau : Pâle, laiteuse. Mais incroyablement douce.
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❯ Groupe : Stranger ❯ Occupation(s) : J'aime bien le sport ou les belles voitures. Alors je passe mon temps à ça. Oh et, je charme également... ❯ Métier : gestionnaire d'un bar-boîte de nuit. ❯ Autres détails : Je ne vis pas dans le pensionnat, j'ai un loft au dessus de mon commerce. Viens quand tu veux, boy.
« Nos conquêtes spatiales ? On ne voit même plus les étoiles. »
❯ Principale(s) qualité(s) : Ponctuel, perfectionniste, travailleur, séducteur, enjôleur, doux, attentif, attentionné, agréable, aime les enfants, créatif, bon cuisinier... Vous voulez mon CV complet ? ❯ Principaux défaut(s) : Cru, Réaliste, Pessimiste, Dur avec lui même, maniaque, peu sûr de lui, de nature stressée, un peu geek sur les bords (à comprendre qu'il peut passer des semaines sans sortir de chez lui.). ❯ As-tu une/des manie(s) ou particularité(s) ? : Il joue constamment avec la bague qu'il a au majeur droit. ❯ Tu as des phobies/ craintes en particulier ? : La solitude et les rats. ❯ Quel chasseur de tête t'as ramené ici ? : J'ai pas été en cours à Blenheim donc. ❯ Tes parents/tuteurs, pensent quoi de ta présence ici ? : Ils s'en fichent maintenant, je fais ma vie. ❯ Où as-tu grandis et avec qui ? : Canterbury avec un père, une mère et trois frangins. Ouais. Trois. ❯ Tes parents, tu peux nous dire quoi à leur sujet ? : Et bien, ils sont gentils. C'est des parents quoi. Ils nous aiment, nous gronde, nous encourage. J'ai pas une super relation avec eux : ni conflictuelle, ni fusionnelle. ❯ Tu as des frères/sœurs, tu peux nous en parler ? : Ah. Mes trois frères. Ils sont géniaux. Lance, le premier, est médecin, il a 50 ans maintenant et deux petites filles. Sa femme est morte d'un cancer l'an passé on essaie de le soutenir au mieux. Edwyn a 35 ans, il vit à deux pas d'ici et il est juste parfait. Avec lui j'ai une relation fusionnelle. Il est en couple avec une jeune femme juste magnifique, Gemma, qui me fait rire tout le temps. Après y'a Gareth, il est le plus jeune, il a 20 ans tout juste et il entre justement à Blenheim. ❯ Tu as une passion ? : La cuisine, j'adore ça. C'est pour ça que j'ai ouvert un bar au début, comme ça je pouvais cuisiner aussi un peu. Mais j'ai pas le temps finalement...
ft. Lancer de Fate/Zero
31 octobre 1998 ;;
Je suis avachis dans le salon avec une bouteille de bière à la main et une belle blonde plantureuse à ma gauche. J’ai organisé cette fête sans l’accord des parents pour Halloween. Ils sont partis avec Gareth passé un week-end chez nos grands-parents. Lance est à la fac. On est que toi et moi. Je voulais que tu ailles passé la nuit chez Sophie, la jeune fille qui nous garde quand les parents s’en vont. Mais depuis l’an dernier, elle est au chômage. J’ai décrété que je pouvais me débrouiller seule pour ça. Mais tu as menacé d’appeler les parents si je ne te laissais pas inviter deux amis pour la soirée. T’as quinze ans, j’en ai dix-neuf, et on est déjà inséparable. Et puis, je n’ai pas honte de toi. J’accepte. Y’a surtout des étudiants à cette fête, et moi, je ne fais pas attention à toi. Tu as interdiction de boire, je sais que t’es sérieux et que tu ne me désobéiras pas. Tu m’admires un peu trop je crois. Bref, la dernière fois que je t’ai vu, t’étais avec une jolie blonde que je ne connaissais pas. Ça devrait être une invitée à toi. Je me suis donc approché et je me suis incrusté dans votre conversation. Si, je la connais. Elle est dans ma fac.
— Salut, je suis Edwyn, son frangin. — Annie, une... amie ! — Ton visage m’est familier, on ne s’est pas déjà croisé ? — Ta technique de drague craint, Ed.
Elle rit, un rire cristalin. Tu l’observes avec un sourire béat. Okay p’tit frère, j’ai compris. C’est la femme de ta vie. Je m’inquiète pas trop, les premières expériences sont importantes, elle t’y amènera bien.
— Je ne la drague pas ! Je me renseigne. C’est de la politesse ! — Je crois bien qu’on est dans la même fac. Je suis en département création textile. — Oui ! C’est toi la fille qui recrute pour un défilé ! — C’est bien ça !
Il ne dit rien, sirotant son verre de coca sans un mot. J’ai bien compris qu’il préférait être seul avec elle. Je lui souris un peu et hausse les épaules.
— Hey, tu lui as montré ta collection de comics ? — Tu as une collection de comics ? — Ouais ! Ça t’intéresse ? — Je vous laisse, je vais voir ce qu’ils fichent dans le jardin. A plus Annie !
Je n’ai appris que bien après que tu la connaissais depuis trois mois, elle venait chercher son frère dans ton cours de boxe thaïe. Je n’ai pas vu cette relation d’un bon œil au long terme. Je savais qu’elle te ferait du mal.
31 octobre 2002 ;;
C’est un jour comme les autres, l’automne est bien ancré dans nos journées et on ne croise plus personne en t-shirt dans les rues, le minimum syndical reste les manches longues. Toi, tu reviens de ton cour de boxe thaïe. Tu pratiques depuis que tu as quinze ans, c’est ce qui m’a fait craquer le premier jour. Je t’observe depuis notre appartement, tu remontes la rue avec une veste en cuir noir sur les épaules et ton casque à la main. Tu as le nez un peu rouge, tu souris. Tu as hâte de rentrer. Aujourd’hui, ça fait quatre ans que nous sommes ensemble. Alors je suppose que tu as préparé quelque chose. Un soupire quitte mes lèvres et je vais m’assoir sur le tabouret de la cuisine, jouant avec une lettre sur le comptoir. Tu rentres, tu enlèves ta veste et tu la jette sur le canapé. Je ne te houspille pas de la ranger comme à mon habitude, j’ai autre chose en tête. Tu me souris, tu viens m’embrasser, je te laisse faire, c’est peut-être la dernière fois. Et puis, tu comprends qu’il se passe quelque chose.
— Annie, ça ne va pas ? — J’ai quelque chose à te dire, Ad.
Tu fronces le nez. J’adore quand tu fais ça d’habitude, c’est un geste anodin mais qui trahit le manque de confiance en toi dont tu es atteint. Ce manque de confiance que tu dissimules tellement bien que même toi tu ignores qu’il vit en toi. Tu es craintif, prudent. J’entends déjà les battements de ton cœur s’affoler. Tu ouvres le frigo et attrape une bouteille d’eau.
— C’est grave ? — Ce sera à toi d’en juger.
Ton regard se fait plus inquiet. Ca y est, tu as peur. Je baisse les yeux et souffle doucement.
— Je te quitte, Adair.
Je relève la tête, je n’ai pas le droit de fuir ton regard. Ce regard qui, finalement, me brise le cœur. Tu as laissé tomber ton bras, celui qui tenait la bouteille. Encore heureux, elle était fermée. Tu me regardes, hébété. Tu n’y crois pas, tu ne veux pas y croire. Tu secoues la tête et un rictus apparaît sur tes lèvres. Tu ris, jaune.
— Aha. Tu sais, Halloween et le 1er avril ce n’est pas la même chose… — Je ne plaisante pas.
Tu déglutis. Tu as cessé de rire, tu as cessé de chercher des solutions. Tu poses tes mains à plat sur le comptoir et tu plonges ton regard blessé dans le mien.
— Pourquoi ?! — J’ai fait une connerie, Ad. — Et on ne peut pas s’en sortir. — Je t’ai trompé.
Silence. Tu encaisses le coup, tu as du mal à respirer. Tu recules et va t’adosser à l’évier. Tu n’y crois pas. Ton regard se repose sur moi et tu souffles d’une voix presque éteinte.
— Pourquoi… ? — Parce qu’il me plaisait, qu’on s’est séduit et que ça à déraper.
Je ne me cherche pas d’excuse. Je l’ai fait, c’est une erreur. Tu sais que je suis honnête, et je traîne ça depuis trop longtemps.
— Et puis, ça fait un moment qu’on n’est plus un couple, Adair. — T’as pas le droit de dire ça... — Si, j’ai le droit. Tu es gentil mais tu ne me fais plus vibrer. Plus comme au début ! — Je n’ai pas changé ! — Si. Tu as mûri. C’est pas plus mal, mais ça ne me conviens plus. — T’es dégueulasse de me dire ça ! — Et puis, y’a autre chose. J’ai reçu une offre, à Frisco. Je pars aux États-Unis dans trois jours.
Tes épaules s’affaissent, tu me fixes sans plus rien comprendre. Tu finis par te laisser glisser le long du frigidaire, anéantit. Je me lève, j’approche de toi. Je pose une main sur ta joue. Ça devait arriver de toute façon, j’ai quatre ans de plus que toi, notre relation était vouée à l’échec. Je soupire doucement et vient embrasser tes lèvres.
— Tu es quelqu’un de bien, tu trouveras une personne de ton âge pour t’aimer. — Va te faire foutre. — Je sais, je sais.
Je me relève et souffle.
— J’ai fait ma valise, je te laisse ce soir. Tu peux tout garder, les meubles, l’équipement, les affaires que j’ai laissées. Ou débarrasse-toi en. Je n’en veux pas.
Je quitte l’appartement et j’entends un fracas. C’est aussi pour ça que je te quitte. Tu te mets en colère rarement mais quand tu le fais, tu bousilles tout. Et ça me faisait peur.
22 juin 2009 ;;
— Mec, tu vas trop vite pour moi là… Si tu continues…
Oui, si tu continues je vais jouir. Je t’ai rencontré ce soir même, un bar gay dans le quartier de Picadilly. On s’est parler un moment et puis, tu m’as souris. Je crois que c’est à cet instant précis que j’ai cessé de réfléchi. Ton sourire était… Envoutant. Enfin, je crois. Moi il m’a attiré comme un aimant. Je t’ai embrassé, tes lèvres étaient douces, c’était agréable. On a pourtant continué à parler, enfin surtout moi. Tu buvais mes paroles. Et quand je te posais des questions, tu réussissais par on-ne-sait quel moyen à reporter le sujet sur ma personne. Je m’en souviens maintenant, tu ne m’as même pas donné ton nom.
— Hey, comment tu t’appelles ? — Adair, et toi ? — Dami-ien.
+18:
Tu as touché un endroit un peu trop sensible chéri. Après ça, tu m’as raccompagné. Un vrai gentleman, pas un mot de travers. Sauf que moi, je n’avais qu’une envie à cet instant-là, t’entraîné dans mon lit. « Tu veux boire un dernier verre ? » « Avec plaisir. » « Suis-moi. » C’était lancé, on savait tous les deux ou on mettait les pieds. D’ailleurs, une fois que j’eus fermé la porte, tu me plaquas contre celle-ci sans attendre. Pas de verre alors, ça m’allait. Un baiser torride, tes mains glissant sous mon t-shirt. Je gémis contre tes lèvres, tu as souris. Mes doigts se sont perdus dans tes cheveux. Je me suis laissé aller entre tes bras. Tu m’as déshabillé avec doigté, frôlant mes zones érogènes sans jamais les toucher : frustrant. Alors j’ai pris les choses en main –si je puis dire– et je me suis mis à te dévêtir à mon tour. Chemise, pantalon… boxer, tu es dos au mur et tu ne peux rien faire. Je me lèche les lèvres, envieux. Tu es aussi excité que moi, c’est rassurant. Je te débarrasse de l’étau de tissus qui barre encore ton sexe tendu et je me jette littéralement dessus : je lèche, je suçote, je suce, tu gémis, tu glisses tes doigts dans mes cheveux, tu aimes ça. Tant mieux. Mais je n’ai pas pu continuer. Tu m’attrapes par la taille et tu inverses nos positions, encore. Tes lèvres partent à la découverte de mon corps. C’est lent, une lente descente aux enfers. Tu mordilles un téton après avoir laissé un sillon humide de ma clavicule à mon torse, tu passes au second et tu continues de descendre. Je sens tes lèvres se refermer sur mon membre et je t’imite quelques minutes plutôt. Les yeux clos, le souffle court, je suis au bord de l’explosion quand tu te décides enfin à me préparer. Est-ce que je vais tenir jusqu’au bout, bon dieu. Je finis par tomber, mes jambes ne tiennent plus, elles tremblent sous le désir. Tu souris en voyant ma position, j’ai les fesses en avant le dos à cheval entre le mur et le parquet. Je grogne un peu mais tu m’empêches de bouger, reprenant ta lubrification. Je gémis, j’agrippe ta main.
— Suffit la torture, prends-moi.
Tu hausses les épaules et tu t’exécutes après avoir enfilé un préservatif. T’es prévoyant et lucide, toi. Moi j’y aurais même pas pensé. Y’a pas de douceur, uniquement de la sensualité et du plaisir. Tu vas et viens en moi jusqu’à ce qu’on atteigne le septième ciel. Puis tu te laisses tomber près de moi, à bout de souffle. Je tourne la tête et sourit. Tu restes là une dizaine de minute et, alors que j’allais te proposer de rejoindre mon lit, tu te lèves et te rhabille. Je fais la moue.
— Tu t’en vas déjà ? — Je me lève tôt demain. — Okay… On se reverra ? — Je ne crois pas, non.
Tu m’embrasses une dernière fois et tu t’en vas. Je souris, okay, tu t’attaches pas, j’ai compris. C’est tant pis pour moi.
15 septembre 2014 ;;
T’as foutu le bordel à Londres mon pote, sincèrement. Je sais que t’es pas méchante, que ton boulot ne te plaisait pas… Mais de là à baiser la femme du plus grand patron de boîte de nuit du coin, t’aurais mieux fait de t’abstenir. Tu voulais qu’il te vire ? T’es mignon. Mec, ce type est en lien avec les bas-fonds de la ville. Il t’aurait fait tuer sans plus de cérémonie, t’as eu de la chance d’avoir des parents et le choix. On sait que t’aime pas cette ville mais regarde, t’es pas tout seul. Ma petite femme et moi on est là. Je sais que tu aimes beaucoup Gemma (je te préviens si tu la touches je te tue moi-même.) et que tu serais heureux de vivre un peu avec nous. Mais tu ne peux pas t’incruster chez moi Bro. Alors je t’ai trouvé un petit logement tout neuf au-dessus d’une boutique. Bon t’as voulu acheter la boutique c’est toi qui te débrouille avec ça mec mais j’espère que ça te fera changer de vision. Y’a pas beaucoup d’adulte dans le coin, touche pas aux mineurs.
Behind the screen;;
Pseudo ? Juste Adair, en fait. Âge ? 23 ans Sexe ? Tous les jours mon amour ♥ Pays ? FR Comment es-tu tombé sur PB ? Un top site Tu aurais des remarques à faire sur le forum ? J'aime beaucoup beaucoup votre forum ! Le contexte, bien que simple, est tout de même très sympa à jouer et l'ambiance qui semble régner est super cool ! J'espère pouvoir m'intégrer **
Dernière édition par Adair C. Shepherd le Ven 24 Oct - 12:33, édité 5 fois
Messages : 18 Date d'inscription : 25/09/2014 Personnage sur l'avatar : Lancer - Fate/Zero Club : Aucun, je suis plus à l'école moi les enfants ~
Le message « Re: Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par Invité
Uuuh Welcome =D *croque une fesse*
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BADASS BADASS ♥ Bienvenue !
Le message « Re: Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par Invité
WELCOME !
Le message « Re: Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par E. Kaelen Knightwalker
BIENVENUE ADAIR. Hésite pas à nous poser des questions =w= ♥
Messages : 107 Date de naissance : 06/01/1992 Date d'inscription : 06/01/2014 Age : 32 Personnage sur l'avatar : OC - NanFe Club : Aucun
Le message « Re: Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par Adair C. Sheperd
Merci à tous ! Je me penche sur ma fiche sérieusement ce week-end !
Messages : 18 Date d'inscription : 25/09/2014 Personnage sur l'avatar : Lancer - Fate/Zero Club : Aucun, je suis plus à l'école moi les enfants ~
Le message « Re: Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par Adair C. Sheperd
Désolé du double post mais j'ai fini ma fiche. Désolé d'avoir mis un peu de temps... Pardonnez moi i_i
Messages : 18 Date d'inscription : 25/09/2014 Personnage sur l'avatar : Lancer - Fate/Zero Club : Aucun, je suis plus à l'école moi les enfants ~
Le message « Re: Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par Sir Foster
code @ Le palais de Blenheim
Messages : 215 Date de naissance : 21/03/2013 Date d'inscription : 21/03/2013 Age : 11 Personnage sur l'avatar : Quelque part Club : Propriétaire de Blenheim
Le message « Re: Adair → La vie d'un homme, ça ne tiens qu'à un fil qui court sous nos pas. || +18 » a été rédigé par Contenu sponsorisé
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